Le Hard Rock Magnétique de HALESTORM Embrase Paris

Le 17 novembre 2025, L’Olympia, la mythique salle parisienne, a tremblé sous l’onde de choc HALESTORM : Le groupe américain posait ses valises dans la capitale pour la seule date française dans le cadre de leur grande tournée européenne, nEVEREST.

La voix incandescente de Lzzy Hale (chant, guitare) s’est mêlée à la batterie volcanique de son frère, Arejay Hale, aux riffs tranchants de Joe Hottinger, et à la basse vibrante de Josh Smith pour livrer un cocktail explosif d’énergie brute, de rage et d’émotion authentique qui a secoué une foule en transe.

BLOODYWOOD : l’assaut tribal et ardent venu d’Inde

Mais avant que la tempête HALESTORM ne déferle, le public a dû affronter autre chose : le métal indien hybride et explosif de BLOODYWOOD.

Venu tout droit de New Delhi, le groupe délivre des riffs lourds comme des marteaux-pilons garnis de rythmes folks entrainâtes et d’instruments traditionnels.

Sur scène, les 6 musiciens (Karan Katiyar – guitares, flûte, Jayant Bhadula – chant indien, chant guttural, Raoul Kerr – rap, Sarthak Pahwa – dhôl, Roshan Roy – basse, Vishesh Singh – batterie) semblent si différents, chacun habité par son propre rythme.

Des tuniques indiennes frôlent les T Shirts siglés, les headbaging et les frappes de dhôl déchirent l’espace avec une élégance guerrière. Le chant saturé, clair ou rappé se mélangent aux riffs puissants et aux flutes enchantées. C’est chaotique, sauvage mais beau et cohérant. Le set list sera un bon mix représentatif de leurs deux albums : Rakshak (2022) et Nu Delhi (2025).

La salle réagie rapidement : des circle pits, des pogos endiables et des Wall of Death se forment automatiquement ou à la demande de musiciens sous des hurlements instinctifs.

Un groupe est très engagé aussi car entre deux chansons, ils ne manquent pas de parler des sujets importants : corruption, violence sociale, harcèlement ou l’avenir incertain. Ils rappellent au public que le métal peut être un cri politique tout autant qu’un défouloir physique. Ils quitteront la scène sous de gros applaudissements.

30 minutes de pause, le temps de reprendre le souffle. Un rideau blanc tombe devant la scène…quelque chose se prépare, l’ambiance est de plus en plus électrique.

L’ASCENSION de l’EVEREST : UPPERCUTS SANS RESPIRER

Enfin, 21h15 les lumières s’éteignent et les premières notes de Fallen Star, extrait du nouvel album, Everest, se font entendre. On distingue des silhouettes, des ombres, des mouvements et quand le rideau chute, c’est une explosion de lumière et de son ! HALESTORM surgit et rugit, brutal et magnifique.

La scène est superbe : un escalier givré, des griffes géantes, qui rappelle la pochette de l’album et un mur de Marshall blancs empilés comme une forteresse sonique.

Lzzy Hale, armée de sa guitare apparaît comme une reine sortie d’un orage. Torride et élégante : cheveux longs, mini-jupe en cuir, cuissardes à talons vertigineux, veste noire qui sera abandonnée rapidement pour laisser la place à un débardeur en mailles de métal, un look de guerrière venue pour vaincre. Elle émerge immédiatement comme une force de la nature. Elle ouvre la bouche et le tonnerre sort.

L’explosion initiale, Fallen Star, a déjà embrasé la foule : riffs acérés, applaudissements sauvages, et une intensité qui clouait chaque spectateur sur place. Impossible d’échapper à ce magnétisme brut : la salle entière est happée dans le vortex.

Et les morceaux s’enchaîner sans répit : I Miss the Misery — la foule explose d’un seul mouvement, Love (So Do I) — cris, poings levés, vibrations qui montent jusque dans les balcons, Do Not Disturb — sexy, dangereux, reptilien et Watch Out — martial, menaçant, plus métal que jamais.

Le groupe alterne les nouveaux brûlots d’Everest et les classiques qui font rugir la foule, chaque titre est transformé en moment de communion explosive.

Lzzy Hale, spectaculaire, libère la bête. Sa voix titanesque est tour à tour rugissante et sensuelle, imposante et fragile. Elle enchaîne les morceaux avec maîtrise et passion aux côtés de ses complices :  Joe Hottinger, souriant à la guitare, Josh Smith tonitruant  à la basse et Arejay Hale véritable ouragan derrière sont kit.  
Un hommage au regretté Ozzy Osbourne, avec Perry Mason, joué avec une énergie qui pourrait réveiller les fantômes du heavy metal.

Et puis soudain on change : un calme s’installe. Un moment suspendu. Like a Woman Can— Lzzy au clavier et sa la voix prend toute la place. Brûlante, sensuelle, vulnérable, implacable.

Elle monte, elle craque, elle perce. On retint son souffle et on hurle avec elle « Why can’t you love me? Oh, why can’t you love me? Like a woman can ». On reçoit le coup en plein cœur. C’est phénoménal ! How Will You Remember Me ? un autre moment d’intense émotion et l’Olympia devient un ciel étoilé.

Puis vient la braise incandescente : I Am On Fire, guitares à double manche, voix rauque et puissante qui fait fondre l’air suivi de l’énergie quasi sacrée de Reign Your Blood On Me avec ses rugissements, ferveur et l’émotion à vif.
Halestorm sait mêler la rage la plus brute à la délicatesse la plus incisive.

Et quand les spots de lumière se dirigent vers l’estrade où est installé la batterie, c’est le moment AREJAY !  Le batteur comme une bête sauvage derrière ses fûts, se jette dans un solo démentiel. Les baguettes tournent comme des haches, volent dans l’air et puis elles deviennent gigantesques —comme des épées de bois. Il frappe, rit, hurle, accélère, ne rate rien et arraché des hurlements du public complètement ébloui !

La salve finale est époustouflanteavec K-I-L-L-I-N-G, puis un hommage pour honorer les victimes des attentats du Bataclan. Lzzy confie sa peur que le public parisien ne viendra plus aux concerts après ce drame mais elle se souvient que seulement quatre mois plus tard le Trianon était rempli : Back from The Death, sera ensuite interprété avec beaucoup d’émotion.

Freak Like Me transforme l’Olympia en un cri collectif : « Nous sommes tous des freaks ce soir » dit LZZY, Et nous l’assumons avec fierté. Alors que le show se termine avec I Gave You Everything — théâtral, venimeux, dramatique. Un morceau qui s’infiltre sous la peau.

L’Encore sera l’Eruption finale, la libération et un toast.

Le groupe revient pour 3 morceaux ! Il ya encore de l’énergie à en revendre :  Darkness Always Winsombre, groovy magnétique, I Get Off se déploie comme une caresse électrique et Here’s to Us pour laquelle le groupe arrive avec un verre à la main pour faire un toast. À eux, a toute leur équipe et à nous, les fans, le public rassemblé ici, ce soir.

La salle heureuse, hurle et ovationne longuement une dernière fois ! C’est un triomphe !  Une consécration !

Les médiators et les baguettes volent. Les fans les attrapent comme des joyaux précieux. La communion ultime entre groupe et public.

Le Pouvoir du Rock Live  –  HALESTORM en communion totale avec le public

Ce soir à Paris, HALESTORM prouve que le rock peut encore déplacer des montagnes.

Ils ont offert une tempête, une ascension, un rituel rock’n’roll qui restera gravé dans la peau de ceux qui y étaient. Un concert fracassant.

Les nouveaux morceaux d’Everest s’intègrent parfaitement au set. Si on a adoré l’album (comme moi), leur interprétation live a dépassé toutes les attentes ! ENORME !

Lzzy Hale reste une des voix les plus puissantes et imposante du rock moderne, à la fois brûlante et fragile, introvertie ou déchaînée. Une reine sans couronne, mais avec une guitare qui coupe et une gorge qui incendie.
Une prêtresse qui rugit et confesse dans la même phrase. Et au-delà de sa performance hors norme elle sait créer une véritable communion avec l’audience.

A chaque fois que Lzzy commande. On obéit. Elle dit de hurler — on hurle. Elle dit de frapper dans les mains — on frappe jusqu’à s’en faire mal. Elle dit « Sing it with me » — et Paris devient une seule et même voix.

Les échanges de regards complices entre Lzzy et Joe, les duels de guitares incisives, la rythmique implacable de Josh et Arejay sculptent une dynamique qui crève la scène.

HALESTORM est sans doute l’un des groupes les plus crédibles et explosifs de la planète rock. HALESTORM incarne la fureur, la passion et l’authenticité sur scène.

L’énergie magnétique du quatuor, leur maîtrise instrumentale et leur interaction avec le public font de chaque concert une expérience viscérale.

Energie Brute, mélodies contagieuses, émotion intense et l’une de meilleures chanteuses rock de tous les temps ! This is RocK N Roll ! 

HALESTORM – Paris

SET LIST

Fallen Star

I Miss the Misery

Love Bites (So Do I)

Do Not Disturb

WATCH OUT!

Perry Mason

(Ozzy Osbourne cover)

Like a Woman Can

How Will You Remember Me?

I Am the Fire

Familiar Taste of Poison

Rain Your Blood on Me

Drum Solo

K-I-L-L-I-N-G

Back From the Dead

Freak Like Me

Everest

I Gave You Everything

Encore:

Darkness Always Wins

I Get Off

Here’s to Us

English Version

HALESTORM’s magnetic hard rock sets Paris On Fire !

On November 17, 2025, L’Olympia, the mythical Parisian venue, shook under the HALESTORM shockwave: The American band was in the capital for the only French date as part of their major European tour, nEVEREST.

Lzzy Hale’s incandescent vocals(vocals, guitar) blended with her brother Arejay Hale’s volcanic drums, Joe Hottinger’s razor-sharp riffs, and Josh Smith’s vibrant bassto deliver an explosive cocktail of raw energy, rage, and authentic emotion that shook a trance-pumping crowd.

BLOODYWOOD: The fiery tribal assault from India

But before the storm HALESTORM swept through, the audience had to face something else: the hybrid and explosive Indian metal of BLOODYWOOD.

Coming straight from New Delhi, the band delivers heavy riffs like hammers garnished with lively folk rhythms and traditional instruments.

On stage, the 6 musicians (Karan Katiyar – guitars, flute, Jayant Bhadula – Indian singing, growl singing, Raoul Kerr – rap, Sarthak Pahwa – dhôl, Roshan Roy – bass, Vishesh Singh – drums) seem so different, each inhabited by their own rhythm.

Indian tunics rub shoulders with branded T-shirts, headbaging and dhôl strikes tear up the space with a warrior elegance. Saturated, clean or rapped vocals mix with powerful riffs and enchanted flutes. It’s chaotic, wild but beautiful and coherent. The set list will be a good representative mix of their two albums: Rakshak (2022) and Nu Delhi (2025).

The room reacts quickly: circle pits, frenzied pogos and Wall of Death are formed automatically or at the request of musicians under instinctive screams.

The Band is also very committed because between two songs, they don’t fail to talk about important subjects: corruption, social violence, harassment or the uncertain future. They remind the audience that metal can be a political cry as well as a physical outlet. They left the stage to loud applause.

30 minutes of break, time to catch your breath. A white curtain falls in front of the stage… Something is brewing, the atmosphere is more and more electric.

CLIMBING EVEREST: UPPERCUTS WITHOUT BREATHING

Finally, at 9:15 p.m., the lights go out and the first notes of Fallen Star, from the new album Everest, can be heard. You can make out silhouettes, shadows, movements and when the curtain falls, it’s an explosion of light and sound! HALESTORM rises and roars, brutal and beautiful.

The scene is superb: a frosty staircase, giant claws, reminiscent of the album cover and a wall of white Marshall stacked like a sonic fortress.

Lzzy Hale, armed with her guitar, appears like a queen out of a storm. Torrid and elegant: long hair, leather mini-skirt, thigh-high boots with vertiginous heels, a black jacket that will be quickly abandoned to make way for a metal-knitted tank top, a warrior look who has come to win. It immediately emerges as a force of nature. She opens her mouth, and the thunder comes out.

The initial explosion, Fallen Star, has already set the crowd ablaze: sharp riffs, wild applause, and an intensity that nailed every spectator to the spot. There is no escaping this raw magnetism: the entire room is caught up in the vortex.

And the songs follow one another without respite: I Miss the Misery — the crowd explodes in a single movement, Love (So Do I) — screams, raised fists, vibrations that rise to the balconies, Do Not Disturb — sexy, dangerous, reptilian and Watch Out — martial, threatening, more metal than ever.

The band alternates between Everest’s new fireworks and classics that make the crowd roar, each track is transformed into a moment of explosive communion.

Lzzy Hale, spectacular, frees the beast. Her titanic voice is by turns roaring and sensual, imposing and fragile. She follows the songs with mastery and passion alongside her accomplices: Joe Hottinger, smiling on guitar, Josh Smith thunderous on bass and Arejay Hale real hurricane behind his kit. 
A tribute to the Ozzy Osbourne, with Perry Mason, played with an energy that could awaken the ghosts of heavy metal.

And then suddenly it change: a calm settles in. A suspended moment. Like a Woman Can— Lzzy at keyboards and her voice takes up all the space. Burning, sensual, vulnerable, relentless.

It rises, it cracks, it pierces. We held our breath and screamed with her, “Why can’t you love me? Oh, why can’t you love me? Like a woman can“. We get the blow in the heart. It’s phenomenal! How Will You Remember Me? another moment of intense emotion and the Olympia becomes a starry sky.

Then comes the incandescent embers: I Am On Fire, double-necked guitars, hoarse and powerful voice that melts the air followed by the almost sacred energy of Reign Your Blood On Me with its roars, fervour and raw emotion.
Halestorm knows how to mix the rawest rage with the most incisive delicacy.

And when the spotlights go to the platform where the battery is installed, it’s AREJAY moment!  The drummer, like a wild beast behind his drums, throws himself into an insane solo. The wands turn like axes, fly through the air and then they become gigantic—like wooden swords. He hits, laughs, screams, accelerates, doesn’t miss a thing and snatches screams from the completely dazzled audience!

The final salvo is breathtaking with K-I-L-L-I-N-G, then a tribute to honor the victims of the Bataclan attacks. Lzzy confides her fear that the Parisian audience will no longer come to the concerts after this tragedy but she remembers that only four months later the Trianon was full: Back from The Death, will then be performed with great emotion.

Freak Like Me transforms the Olympia into a collective cry: “We’re all freaks tonight” says LZZY, and we assume it with pride. As the show ends with I Gave You Everything — theatrical, venomous, dramatic. A song that seeps under the skin.

The Encore will be the final Eruption, liberation and a toast.

The band is back for 3 songs! There is still energy to spare:  Darkness Always Win dark, groovy magnetic, I Get Off unfolds like an electric caress and Here’s to Us for which the band arrives with a drink in hand to make a toast. To them, to their entire team and to us, the fans, the public gathered here tonight.

The room is happy, screams and gives a long ovation one last time! It’s a triumph!  A consecration!

Picks and sticks fly. The fans catches them like precious jewels. The ultimate communion between group and audience.

The Power of Live Rock – HALESTORM in total communion with the audience

Tonight, in Paris, HALESTORM proves that rock can still move mountains.

They offered a storm, an ascent, a rock’n’roll ritual that will remain engraved in the skin of those who were there. A shattering concert.

Everest‘s new tracksfit perfectly into the set. If we loved the album (like me), its live performance exceeded all expectations! HUGE!

Lzzy Hale remains one of the most powerful and imposing voices in modern rock, both burning and fragile, introverted or unleashed. A queen without a crown, but with a guitar that cuts and a throat that burns. A priestess who roars and confesses in the same sentence. And beyond her extraordinary performance, she knows how to create a real communion with the audience.

Every time Lzzy orders. We obey. She says to scream — we scream. It says to clap your hands — you clap until you hurt. She says, “Sing it with me” — and Paris becomes one and the same voice.

The exchanges of knowing glances between Lzzy and Joe, the incisive guitar duels, the relentless rhythmic of Josh and Arejay sculpt a dynamic that bursts the stage.

HALESTORM is undoubtedly one of the most credible and explosive bands on the rock planet. HALESTORM embodies fury, passion and authenticity on stage.

The quartet’s magnetic energy, instrumental mastery and interaction with the audience make each concert a visceral experience.

Raw energy, contagious melodies, intense emotion and one of the best rock singers of all time! This is RocK N’ Roll! 

HALESTORM – setlist

SET LIST

Fallen Star

I Miss the Misery

Love Bites (So Do I)

Do Not Disturb

WATCH OUT!

Perry Mason

(Ozzy Osbourne cover)

Like a Woman Can

How Will You Remember Me?

I Am the Fire

Familiar Taste of Poison

Rain Your Blood on Me

Drum Solo

K-I-L-L-I-N-G

Back From the Dead

Freak Like Me

Everest

I Gave You Everything

Again:

Darkness Always Wins

I Get Off

Here’s to Us